TOULOUSE BY NIGHT
MES COUPS DE COEUR NOCTURNES
En extérieur, le ROOM 157 est un bon plan pour qui a une voiture (oui c'est en bord de rocade). Voile Blanche et L'Esmeralda sont aussi des lieux plutôt sympas dans la zone de Sesquières, mais je n'ai jamais vécu un moment d'exception sur ces dancefloors. Quand on arrive à Toulouse, le TRADER (rue de l'industrie) est séduisant par ses krachs boursiers sur les tarifs de l'alcool. Non loin de là, le petit verre au coin du feu est à tester à La Maison. Place du Capitole, le Florida sait organiser de belles soirées thématiques. Et les étudiants ont tendance à se masser place Saint-Pierre. Je préfère le secteur des Carmes avec entre autres le Quartier Latin.
MES DECEPTIONS DANS LA VILLE ROSE
Parfois certains établissements se la jouent un peu trop sélect'. Au Connexion, il n'est pas rare de voir des jeunes se faire refouler pour des raisons inexplicables. Il faut attendre très longtemps avant d'être servi. Le nouvel espace du Télégramme (ancienne Bodega) est là pour faire du chiffre ! Alors que j'avais consommé des tapas, on m'a gentiment fait comprendre que si je ne consommais pas davantage, il fallait que je parte ! A la tête du client, l'IBAR filtre aussi, alors qu'à part le joli concept d'After work, la musique n'est pas très bonne. Autre exemple : le Shangaï. Cette boîte de nuit proche de la place Saint-Georges poste à son entrée un videur pour le moins antipathique. L'atmosphère un peu glauque du lieu ne donne pas envie d'y passer un long moment d'autant que l'ambiance ne prend pas avant 2 heures du matin. Plus bizarre encore : le Grand Cirque.